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Affichage des articles associés au libellé ahraout

CONTES DU DESERT : EPISODE 18 - EDITION BLOG -

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 CONTES DU DESERT : EPISODE 18 - EDITION BLOG - -       Vite, elle coupe en deux moitiés   une des oranges, la presse sur les mains et le corps qui s’animent et se recouvrent de chair. Ahraout se réveille et s’anime, il embrasse sa sœur. En se tenant la main, les deux enfants courent vers l’entrée de la grotte. -       - Mais où est notre père ? aucune des statues de la salle ne lui ressemble… -      - Il est près de la vache qui pleure, dit le moulamoula, perché dans une anfractuosité de roche. Montez sur le tapis magique et je vous conduirai vers lui.          

CONTE DU DESERT : EPISODE 06 -Edition Blog-

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 CONTE DU DESERT : EPISODE 06 -Edition Blog- Le vol se poursuit et s’arrête non loin, près d’un mur de roche aux étranges silhouettes. -          Allons, Ahmed, viens saluer la reine, nous sommes arrivés, dit le kalissouf en frappant le rocher qui s’ouvre. -          L’enfant découvre un étroit passage, s’y introduit et se trouve dans un superbe palais. Des tapis bariolés aux couleurs sable et ocre tapissent les murs de pierre, une douce musique résonne. Des statues dont la forme évoque des hommes, figés dans des attitudes diverses, se dressent ça et là le long des murs, devant les tapis. Une grande et belle femme aux yeux de braise est assise sur un trône d’ivoire, le visage encadré de lourdes tresses d’or et de sable   qui se meuvent et se dressent comme des serpents. Elle sourit : -           Viens, Ahraout, tu dois être fatigué par ce lo...

CONTE DU DESERT Episode 02 -Edition Blog-

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 CONTE DU DESERT Episode 02 -Edition Blog- Mais Ahraout   n’en faisait qu’à sa tête et s’attardait aux portes du village, tous les soirs il attendait son père qui ne revenait pas. Si bien qu’un jour, un jour de grand vent,   une voix profonde et terrible lui dit : viens avec moi, petit garçon et je t’emporterai   au château de la reine des sables, la puissante magicienne dont je suis le serviteur : tu y retrouveras ton père… Ahraout se   lève sur la pointe des pieds, étend les bras comme un oiseau ses ailes et le kalissouf l’emporte.